L’épidémie de Covid-19 a fait monter d’un cran la vigilance sanitaire. Face à ce virus que nous apprenons à connaître, les métiers de la santé et du transport sanitaire se sont trouvé « en première ligne », face à de nouveaux défis ! Les professionnels ont dû s’adapter à des contraintes sanitaires de plus en plus fortes et ont dû adopter de nouvelles procédures, et de nouveaux outils…
De forts risques de contamination par l’air et le toucher
Une étude américaine, réalisée par des chercheurs en virologie, ont testé la résistance du coronavirus, sur différentes surfaces. Résultat : la durée de vie du virus pourrait atteindre 3 jours sur du plastique et de l’acier, 4 sur le bois et le cuivre. De précédentes études la complètent en annonçant une durée de vie de 5 jours sur le verre. 
Même si les maladies respiratoires, comme la Covid-19, sont généralement des maladies aéroportées, c’est-à-dire qu’elles se diffusent principalement par de fines gouttelettes contenues dans l’air, le risque de contamination par le toucher de surfaces contaminées est réel. Une autre étude chinoise avait démontré que le virus pouvait se propager par le contact physique avec des objets contaminés (source dans cet article). Dans celle-ci, des habitants d’un même immeuble, avait contracté la maladie, au même moment, sans avoir été en contact direct. L’étude mettait en exergue le rôle des parties communes (portes, poignées, boutons d’ascenseur) dans la transmission du virus.
Forte viralité = grande exigence de désinfection
Les véhicules de transport sanitaire peuvent se révéler (sur le papier) un lieu de contamination potentielle, pour les patients et le personnel : un espace confiné, dans lequel les personnes se tiennent proches les unes des autres.
Le risque de contamination par le toucher de surfaces contaminées est réel
La sécurité des passagers impose donc une rigueur toujours plus grande dans le respect des protocoles de prise en charge et dans le nettoyage et la désinfection des cellules sanitaires. Des contraintes supplémentaires et gourmandes en temps et en énergie, auxquelles s’ajoutent un contexte général anxiogène. L’adaptation est le maitre-mot de cette période sous pression !
Des innovations technologiques dans le monde de l’ambulance
Pour faciliter le quotidien des ambulanciers, dans ce nouveau contexte sanitaire, des innovations voient le jour, comme la cellule antibactérienne/antiCovid-19 (conçue par BSE). Cette cellule, grâce à un procédé d’injection à cœur de matière, élimine de manière définitive et permanente les bactéries à l’origine des maladies nosocomiales et le virus provoquant le Covid-19. Cette efficacité est certifiée par un laboratoire indépendant (Fonderephar).
Pour compléter le principe actif de la matière, la conception de la cellule a été pensée avec la contrainte d’un nettoyage et d’une désinfection efficace et rapide : coins arrondis, surfaces et mobiliers ne craignant pas l’eau, ni les produits désinfectants. Toutes les ambulances BSE sont équipées de cette cellule antibactérienne / antiCovid-19.